Dans une soirée qui restera gravée, Ousmane Dembélé Ballon d’Or 2025 est devenu réalité. Oui, ce même joueur que certains avaient déjà rangé dans la catégorie “promesses gâchées” s’est transformé en roi du football mondial. Et au Théâtre du Châtelet, à Paris, il a mis tout le monde d’accord.
Car soyons honnêtes : son nom n’a surpris personne. En 2025, Dembouz a joué comme s’il avait un cheat code. Vivacité retrouvée, dribbles assassins, passes au millimètre et buts au moment où il fallait. Bref, une masterclass de constance. Sous les ordres de Luis Enrique, il a même offert au PSG un quintuplé historique : Ligue 1, Ligue des champions, Coupe de France, Trophée des Champions et Supercoupe d’Europe. Oui, cinq. Cinq comme les doigts de la main qui tiennent fermement un Ballon d’Or.
Face à lui, il y avait pourtant du lourd : Lamine Yamal, petit prodige du Barça déjà prêt à casser Internet, et Vitinha, métronome portugais qui distribue des caviars comme des flyers. Mais Dembélé a pris l’ascenseur jusqu’au sommet.
Et la cerise sur le gâteau ? C’est Ronaldinho en personne qui lui a remis le trophée. Larmes aux yeux, Dembouz a remercié le PSG, ses anciens clubs, ses coéquipiers, son staff, son agent et surtout sa famille. Un discours simple, mais percutant.
En vrai, cette victoire, c’est plus qu’un trophée. C’est une revanche. Après des années à squatter l’infirmerie et à lire des critiques assassines, Dembélé a choisi de répondre sur le terrain. Et ça, c’est toujours la meilleure des punchlines.
Aujourd’hui, il n’est plus seulement le joueur fragile aux éclairs de génie. Il est devenu une légende vivante, une source d’inspiration pour toute une génération. Comme quoi, dans le foot comme dans la vie, la plus belle des victoires reste celle contre soi-même.